Des façons simples d’améliorer sa vitesse ascensionnelle
Pour améliorer votre vitesse de course en montagne, vous devez créer un programme axé sur des niveaux de tension élevés qui augmentent la force de vos fibres musculaires. Cela vous aidera à maintenir votre vitesse de montée aussi longtemps que possible. Mais comment améliorer sa vitesse ascensionnelle ?
Conseils pour améliorer votre condition physique et augmenter votre vitesse d’ascension
En fait, améliorer sa vitesse ascensionnelle implique certaines techniques que seuls ceux qui vivent près d’une montagne peuvent utiliser. Ces techniques consistent notamment à travailler l’endurance musculaire avec un vélo classique, un vélo elliptique ou un escalier. Alors, comment améliorer sa vitesse ? Pendant 45 secondes, montez et descendez 4 à 4 marches à plusieurs reprises. Ensuite, redescendez lentement les marches. Ce programme d’entraînement à la course peut être effectué 8 fois pour commencer. Après cela, augmenter la fréquence à 10 jusqu’à ce que vous soyez habitués. Et vous pouvez même augmenter la fréquence jusqu’à 15 fois. C’est en raison de l’utilité des qualités acquises lors de cette séance pour la course d’endurance. Les skieurs-alpinistes professionnels du bassin grenoblois utilisent un frac d’escalier de 20 répétitions pendant 1 et 30 minutes d’exercice, suivi de 2 heures et 30 minutes de reprises partielles entre des répétitions. Veuillez visiter le site igrunners.fr pour avoir plus d’informations.
Des explications techniques pour accroître votre vitesse d’ascension
En escalade, la vitesse maximale à laquelle un athlète peut faire passer le système d’oxygène dans son corps n’a plus besoin d’être prise en compte. Au lieu de cela, l’athlète utilise la différence d’altitude mesurée lors du calcul de sa VMA. Cette mesure d’intensité est déterminée par la rapidité avec laquelle le coureur utilise l’oxygène pour se déplacer à une altitude plus élevée. Vous devez brièvement dépenser une quantité importante d’énergie afin d’accomplir la tâche. Vous pouvez améliorer votre vitesse ascensionnelle pour la course de montagne en vous concentrant sur l’augmentation de la consommation d’oxygène et de la puissance, tout en conservant l’énergie grâce durant le déplacement.
Optimiser votre endurance de force
Une endurance pendant une course de montagne est plus efficace lorsque le coureur produit d’abord une tension élevée dans les fibres musculaires. Vous voulez savoir comment améliorer sa vitesse de course ? Il est important que les coureurs comprennent que pour y parvenir, il faut d’abord développer l’endurance de la force. Le nombre d’unités motrices impliquées dans une contraction et le nombre de fibres musculaires qui sont présentes dans une unité motrice jouent tous deux un rôle dans la force musculaire. Courir en montagne peut être amélioré en augmentant son temps d’assistance PMA (Maximum Aerobic Power) et en travaillant sur l’amélioration de la puissance musculaire.
Vous devez maintenir votre puissance aérobie maximale en répétant rapidement une courte montée en montée plusieurs fois par séance. Vous devez également compléter les intervalles sur une longue pente en vous entraînant à marcher rapidement avec des bâtons. Vous devriez également pratiquer la course à pied et la marche en descente pour améliorer votre vitesse.
Finalement, comment progresser ?
En diminuant la CE, et en ne faisant que des séances plus intenses de 85 % de VMA, vous pouvez augmenter la puissance critique (F) et la consommation d’oxygène (VO2max). Courir en montée réduit l’énergie nécessaire pour couvrir une distance spécifique. Par rapport à un terrain plat, cela réduit l’impact du coureur sur son énergie élastique stockée. Par conséquent, ce coût accru couvre une plus petite distance en montée qu’un terrain plat. Lorsque vous progressez en montée, inutile de vous poser des questions sur le processus, tout ce que vous avez à faire est de perdre du poids et de devenir plus fort ! Si vous n’êtes pas convaincu, montez une colline la première fois sans sac à dos ; puis randonnez à nouveau avec un sac en bandoulière derrière vous. Vous n’avez qu’à transporter entre un et deux kilos, selon votre âge et votre poids. Les alpinistes doivent compenser le poids supplémentaire en modifiant leur rythme de course. En effet, la vitesse à laquelle ils gravissent les pentes diffère selon la pente et le mode de marche ou de course. De nombreux coureurs ayant la même condition peuvent grimper à des vitesses différentes.